Dans les coulisses de PYX4, notre équipe Tech œuvre dans l’ombre pour optimiser et améliorer notre solution. Aujourd’hui, nous échangeons avec Blanca, développeuse backend chez PYX4 depuis 2018. Elle nous parle de son parcours et de ses missions au sein de PYX4.
> Bonjour Blanca, peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Blanca Mancilla, je suis originaire de Colombie et développeuse backend chez PYX4 depuis six ans et demi.
Mon parcours m’a amené à vivre aux quatre coins du monde : Canada, Australie, États-Unis, sans oublier la Suisse, où mes deux filles ont étudié et résident aujourd’hui.
> Quel est ton parcours et comment es-tu arrivée chez PYX4 ?
J’ai commencé mes études en Colombie dans le génie informatique, durant lesquelles, j’ai aussi eu l’occasion d’étudier quelque temps aux États-Unis, à New-York.
Je suis ensuite partie à Québec, pour réaliser un Master en télé-détection puis un doctorat en informatique en Australie. Une fois mes études terminées, je suis retournée au Canada, cette fois-ci à Montréal pour commencer ma carrière professionnelle.
J’ai commencé par des missions de consulting, mais cela ne me plaisait pas vraiment. Travailler directement avec des clients qui ne comprenaient pas toujours mon travail et faire face à une pression constante était assez stressant. C’est à ce moment-là qu’un collègue, ayant rejoint PYX4, m’a encouragée à postuler. Et me voilà arrivée chez PYX4 en juin 2018 !
> En quoi consiste tes missions ?
Je suis développeuse backend et leadeuse de cette partie chez PYX4.
Ma mission principale est de “prendre soin” du backend : je veille à ce qu’il soit solide, fiable et qu’il fonctionne harmonieusement avec le frontend. Cela passe par plusieurs missions :
- corriger les bugs et les incohérences
- moderniser le code existant
- m’assurer que le back-end soit agréable à utiliser
Comme je travaille sur le back-end depuis un certain temps, j’ai développé une connaissance très vaste de la logique globale de l’application. Une partie de ma mission consiste donc à éclaircir cette logique pour faciliter le travail de l’équipe et notamment l’onboarding des nouveaux développeurs backend qui arrivent chez PYX4.
> Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier ?
Ce que j’aime le plus est d’être amené à résoudre des problèmes complexes et rendre les choses plus claires. Réorganiser et améliorer le code pour le rendre plus structuré me procure beaucoup de satisfaction.
Le fait aussi d’avoir toujours quelque chose de nouveau à découvrir et à apprendre. Dans les nouvelles technologies et notamment dans le langage informatique, tout évolue très rapidement. J’apprends donc sans cesse de nouvelles façons de faire, me permettant d’évoluer en continu.
J’apprécie aussi le travail en équipe. Lorsque je suis confrontée à un problème auquel je ne trouve pas la réponse, j’aime pouvoir solliciter mes collègues pour réfléchir ensemble et essayer d’autres approches avec un regard neuf. C’est souvent très enrichissant, car nous avons tous des expertises différentes, mais complémentaires.
> Quelle est la mission dont tu es la plus fière ou qui t’a le plus marquée ?
Chez PYX4, je suis particulièrement fière d’avoir contribué à la refonte de l’infrastructure de PYX4 Improver, pour ce qui concerne le backend. Au départ, le code de ce module était très complexe et difficile à maintenir, c’est ce qu’on appelle le “spaghetti code”. Mon objectif était donc de le rendre plus simple à lire et à manipuler, en le modernisant.
Ce projet a débuté avec le module Risk, avant d’être étendu à Improver, donnant naissance à Improver V2 dont le travail continue toujours aujourd’hui.
> Quelles compétences te semblent nécessaires pour exceller dans ton métier ?
Il faut déjà avoir une bonne capacité de raisonnement pour comprendre comment les différentes parties du code interagissent entre elles et forment un ensemble cohérent.
Il faut aussi être capable de comprendre les besoins du client et de les traduire en solutions techniques adaptées. Parfois, cela implique de trouver des alternatives lorsque les demandes sont irréalistes. Il s’agit de trouver le bon équilibre entre ce qui est demandé et ce qui est réalisable. Cela requiert d’être pragmatique, en réalisant des missions qui vont répondre à l’objectif.
Enfin, la patience et la régularité font partie intégrante de mon métier. Je suis obligée de faire certaines tâches fastidieuses comme nettoyer le code, mais cette discipline est nécessaire pour justement rendre le code plus agréable et prendre par la suite du plaisir à travailler dessus.
> Quel est ton mantra ?
En ce moment, mon mantra est le suivant : “I code, I run, therefore I am.”
J’ai toujours aimé courir, mais j’avais du mal à progresser et à structurer mon entraînement. Cela fait maintenant six mois que j’ai rejoint un club de running qui m’aide sur ces points-là. J’ai d’ailleurs eu une idée un peu folle : participer à un marathon avec ma fille. Elle m’a proposé de faire le marathon de Berlin dans deux ans, et c’est devenu un bel objectif à partager.
Pour moi, le running s’applique aussi au code : ce n’est pas uniquement l’objectif final qui compte, mais le processus pour y arriver et tout ce qu’on apprend pendant celui-ci. Que ce soit pour préparer une course ou améliorer un code, tout repose sur la discipline et la régularité.
> Quel métier aurais-tu fait si tu n’avais pas été développeuse ?
Si je n’avais pas été développeuse, je pense que je me serais tournée vers un métier lié à la mécanique, car c’est un domaine qui me fascine depuis toute petite. Quand j’étais jeune, j’adorais aider mon père à réparer ou vérifier notre voiture, et c’est là que j’ai développé ce goût pour la mécanique. Observer, toucher, comprendre, construire : ce sont des aspects qui me passionnent encore aujourd’hui.
Durant mes premières années à Montréal, je pouvais passer des heures à observer les déneigeuses en m’intéressant à leur fonctionnement et leur logistique.
> Si tu devais décrire PYX4 en quelques mots, quels seraient-ils ?
Je dirais confiance, intégrité et esprit d’équipe.
Ce que j’apprécie particulièrement chez PYX4, c’est la confiance accordée à chacun. Je suis libre de faire mon travail en toute autonomie, toujours dans l’intérêt de l’entreprise, sans être constamment supervisée. Cette absence de micro-management est donnant donnant pour tout le monde. On avance sans ressentir de pression ou de mauvais stress.
Ensuite, même si les équipes sont dispersées dans deux bureaux différents : France et Canada, nous veillons à maintenir un lien entre nous, et je le ressens vraiment.
Enfin, l’intégrité est très présente chez PYX4, et c’est pour moi très important. J’essaie toujours de l’appliquer que ce soit dans mon quotidien ou dans mon travail. Lorsque je dis quelque chose, je le fais, et c’est exactement ce que PYX4 attend de nous.
> Si tu devais mettre un mot sur 2025…
Avec PYX4, 2025 sera une année marquante, car de nombreux projets sur lesquels nous travaillons depuis des années vont enfin aboutir. C’est une année qui va nous permettre de clôturer ces projets et d’avancer sur de nouveaux.
Côté perso, j’espère faire une belle course qui me rendra fière.
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- > Bonjour Blanca, peux-tu te présenter ?
- > Quel est ton parcours et comment es-tu arrivée chez PYX4 ?
- > En quoi consiste tes missions ?
- > Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier ?
- > Quelle est la mission dont tu es la plus fière ou qui t’a le plus marquée ?
- > Quelles compétences te semblent nécessaires pour exceller dans ton métier ?
- > Quel est ton mantra ?
- > Quel métier aurais-tu fait si tu n’avais pas été développeuse ?
- > Si tu devais décrire PYX4 en quelques mots, quels seraient-ils ?
- > Si tu devais mettre un mot sur 2025…